Oui je parle bien de précision! En effet, lorsqu'on désire un certain niveau de précision sur nos mesure, il est judicieux d'inclure des potentiomètre pour inhiber la tolérance des résistance (5%, 10% voir plus).
Ici, je veux présenter de résistance plus "gadget".
I.a- La photorésistance :
Comme son nom l'indique, ce composant est de type ohmique. Néanmoins, ça caractéristique majeur est la variation de cette valeur ohmique en fonction que la quantité de lumière qu'il reçoit. La documentation technique indique la variation de résistance admissible car ce capteur.
Il est important de noter que même dans une noir, cette valeur pourra légèrement varier.
I.b- La résistance flexible :
Une autre résistance basée sur le même principe. Dans ce cas, la valeur ohmique varie en fonction de la déformation du matériau. Plus la déformation est importante, plus la valeur de la résistance augmentera. Le défaut majeur de ce capteur de flexion est sa tolérance de +/- 30%.
II- La mesure :
La technique de base consisterais à utiliser un pont diviseur de tension pour obtenir la différence de potentiel et donc caractériser notre résistance.
Une autre méthode, un peu plus poussée, consiste à utiliser le pont de Wheatston. Ce montage permet d'obtenir des résultats plus précis et stables dans le temps.
Une autre méthode, un peu plus poussée, consiste à utiliser le pont de Wheatston. Ce montage permet d'obtenir des résultats plus précis et stables dans le temps.
Il ne reste plus qu'à utiliser un Convertisseur Analogique-Numérique pour récupérer notre information pour s'en servir dans notre programme.
III- Étalonnage :
Dans notre programme, utiliser la valeur brute en sortie du capteur n'est pas la meilleure idée. Il est important de réaliser un premier étalonnage du capteur lors de sa mise en service. Puis de récupérer l'information sur une moyenne d'échantillons. Cela dans le but d'atténuer les résultats erronés.
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